La survie de milliers de TPE et PME est un enjeu important auquel les managers et leurs salariés se confrontent au quotidien. Les procédures de chômage partiel mises en place par le gouvernement ne résoudront pas tous les problèmes. Mais, regardons la réalité en face, notamment pour les chefs d’entreprise de nombreux pays qui n’en ont pas bénéficié.
Évoluer face à la crise
La crise n’est peut-être pas structurelle et il faudra du temps pour que l’économie se remette sur les rails. Dans ce cas, deux voies sont possibles :
- Attendre patiemment, pour ceux qui ont les moyens, en attendant un rétablissement complet, ne pas chercher d’amélioration continue.
- S’adapter et vivre à ce nouvel environnement.
En réalité, tout le monde veut retrouver une vie normale . Pourtant, il est certain qu’après avoir quitté le confinement pendant un certain temps, les économies et l’écosystème ne trouveront plus comme avant. Que votre institution soit en difficulté ou ne connaisse pas de complications majeures, vous devez tenir compte de ce nouvel air. La situation d’aujourd’hui est différente, rien ne sera « comme avant ». Effectivement, si vous arrivez à vous adapter, à trouver des solutions, de nouveaux services/produits, de nouvelle méthode… vous devez faire mieux que les autres.
Il vaut mieux réfléchi à la manière de s’adapter à cette situation au lieu de baisser le bras. Notamment lors de la prestation de services, ajuster sa production parait toujours difficile. Pourtant, il est probable d’envisager un nouveau service, une nouvelle façon de fournir des services. Le succès vient parfois de plusieurs choses… Pour certaines entreprises, cet arrangement nécessite des ajustements majeurs, alors que pour d’autres, ce n’est pas le cas. Dans le monde entrepreneurial, il existe un concept de « pivot », qui dans certains cas peut être une adaptation du concept de transformation. Vous pouvez suivre Paul Morlet, pour plus de conseils.
Réaliser un bon investissement
Évidemment, peu de chefs d’entreprise n’ont pas envisagé d’optimiser le coût. Améliorer les coûts ne veut pas dire des économies forcées.
Attention à ne pas trop « gratter » : parce que vous voulez trop économiser. Vous risquez de rater des opportunités futures par manque de ressources (comme la main-d’œuvre, les matériaux). Ces économies doivent faire partie de la stratégie globale, et vous déterminerez clairement vos besoins. Voici un exemple : dans le cadre du développement de l’orientation stratégique de l’entreprise, vous avez envisagé d’embaucher un expert pour un poste pour un nouveau produit/service. Il est facile de penser que ce n’est pas le moment de recruter. Vous pouvez réaliser vous-même comme Paul Morlet management en vendant lui-même ses lunettes en ligne.
Ce profil permet de mettre en place de nouveaux produits/services dans la même année, et que l’entreprise persiste jusque-là. Ainsi, c’est un bon investissement pour l’entreprise. Et le candidat peut être prêt à s’adapter sur certaines activités pour faciliter les choses. Voici un exemple : effectuer une partie d’activité ou contrat à temps partiel les premiers mois et ensuite réévaluer le contrat …
Cela fonctionne de la même manière que l’achat de nouveaux équipements, la refonte des outils de communication… Au lieu d’acheter un produit moins cher chez un fournisseur par exemple, il vaut mieux présenter votre problème à votre fournisseur habituel pour le motiver à faire un geste dans la situation actuelle.
Prévenir un plan de secours
La plupart des chefs d’entreprise comme Paul Morlet traversent une période difficile, car ils passent du temps à résoudre des problèmes et à devenir pompiers pendant le confinement. Pour certaines personnes, les prochains mois seront des défis quotidiens. Afin de protéger les activités, l’emploi et les savoir-faire, l’économie française est composée de nombre considérable de TPE et PME, aujourd’hui fragilisés. Dans ce cas, il est important de prévoir certaines possibilités.
Bien que cela semble difficile et déchirant, une cession reste une autre option pour conserver les entreprises et les emplois. Ici, il ne s’agit pas d’un transfert au tribunal de Commerce après paiement à terme échu. Dans ce cas, l’entrepreneur n’aura pas réellement de droit de parole, et l’acquéreur donnera ses conditions. Il s’agit ici de prévoir la difficulté et d’envisager pleinement le transfert en amont. Évidemment, d’un point de vue financier, ils ne sont pas importants.
Prendre un peu de temps
Travailler le plus possible implique à la fois le corps et l’âme. C’est en quelque sorte la définition d’un chef d’entreprise. D’autant plus que cette situation les incite à se concentrer sur « l’immédiat et maintenant » dans une large mesure, avec une charge mentale importante (gestion des fournisseurs, des clients, des risques sanitaires, des salariés, de la trésorerie, etc.).
C’est pourquoi il est conseillé à tous les chefs d’entreprise d’avoir autour d’eux des personnes qui peuvent les aider à prendre du recul. Peu d’entre eux appliquent ce principe. Cette crise peut être l’occasion de démarrer, car même si tout se passe bien, il est très utile pour les chefs d’entreprise de pouvoir s’appuyer sur des aides. Elles pourront vous apporter des idées.